Edimbourg. La ville poubelle. Mégapole où s’accumule la lie de la terre. Au dessus, dans le ciel, s’élève la gracieuse citadelle, cité des merveilles où le sol est d’or, les tours en cristal dit-on, où vivent les très riches, ceux qui possèdent et dirigent les conglomérats. Avec eux, banquiers, riches en tout genre, et la cour autour d’eux des flatteurs. D’eux, on ne sait pas grand chose, des messages en provenance de la citadelle sont diffusés dans des gigantesques écrans plats vantant la luxueuse citadelle. Des tickets d’or sont offerts chaque année, les gagnant peuvent aller à la citadelle. En bas, le ghetto. La misère règne sur terre où les zones toxiques et sauvages se disputent en dangerosité. Les cités sont les derniers remparts mais sont devenus, faute d’autorité et de justice de vrais dépotoirs, des zones de non droit où la loi du plus fort règne. Edimbourg est dirigée par le syndicat, des criminels qui ont fait main basse sur la cité et la contrôle. Des zones sont laissées à la main mise des clans dissidents, enfin, les souterrains aux mutants les plus déshumanisés. Vivre dans le ghetto ou plutôt survivre veut dire être un battant, quelqu’un qui doit sa survie à lui seul. Au milieu de l’enfer, reste l’espoir : la résistance. Un groupuscule qui se bat pour un monde meilleur et lutte contre l’oppression des conglomérats. Une illusion pour certains, une raison de survivre pour d’autres. lire le contexte
REIGN IN BLOOD est inspiré d'univers divers et variés comme Blade Runner, Mad Max, Shadowrun, Deus Ex, Bioshock, Matrix ou encore Caprica. Savant mélange de cyberpunk et d'anticipation, on vous embarque dans un univers sombre, futuriste et mordant. Création originale réservée aux plus de 13 ans. Alors, serez-vous de la partie?